J’ai eu besoin de quelques jours pour faire le bilan de mon ChallengeAZ. Ce n’est pourtant pas la fatigue d’écrire tous les jours, qui en est la cause.
Avant toute chose, je voudrais remercier toutes les personnes qui ont lu mes billets et qui m’ont encouragé en cliquant sur le bouton « j’aime ». Je remercie aussi celles qui ont permis la diffusion de mon travail par twitter ou autres sites.
Sept jours avant le début du challenge 2016, je n’avais toujours pas de thème, je prenais seulement la décision de participer. Plus beaucoup de temps, pour me décider quand me vient l’idée de travailler autour de mon arrière-arrière-grand-père Claude Samuel.
Il y a longtemps que j’avais envie d’écrire son histoire, c’était l’occasion. Le temps de ressortir mes documents le concernant, de faire rapidement sa ligne de vie et de faire 2 ou 3 recherches rapides, je suis prêt (enfin presque) pour me lancer.
Contrairement à certains, je m’exprime plus facilement en faisant tout à la dernière minute. L’inconvénient, c’est que ça me prend du temps que je ne peux passer à lire, régulièrement, les autres challenges. Mais promis, j’irai lire chacun dans les jours qui viennent.
Mon ressenti sur mon ChallengeAZ est bon, j’ai fait tous les billets que je voulais dans les temps impartis et avec moins de stress que l’année dernière. Le résultat est même meilleur que je ne l’imaginais le 31 mai. Je me suis beaucoup investi émotionnellement. À quelques jours de la fin du mois de juin, j’ai eu un pincement au cœur en me rendant compte que j’allais bientôt parler du décès de Claude Samuel, un peu comme s’il allait mourir une deuxième fois, alors que je sentais très présent en moi.
C’est pour cette raison que j’ai eu besoin de temps pour faire ce bilan. Le meilleur moyen que j’ai trouvé, et qui me permet de passer à autre chose, c’est d’avoir écrit un nouveau billet sur la vie de Claude, en supplément du challenge.
Pour finir, je vais laisser le mot de la fin à Pauline avec son commentaire qui m’a vraiment touché.
Un petit pincement au cœur de mon côté également. (et si les émotions sont transmises, c’est que c’est réussi )
- A comme Atonie d’une existence ordinaire
- B comme Bébé Claude
- C comme Cubrisoles
- D comme Dans la famille
- E comme Environnement social
- F comme Fringué ou fringant
- G comme Gaga et patois
- H comme Heure du repas
- I comme Instruit ou illettré
- J comme Je suis malade…
- K comme K de taille
- L comme Livret militaire
- M comme de la Méditerranée à la Mer Noire
- N comme Napoléon III et la guerre de Crimée
- O comme Obsèques lointaines
- P comme Pas de service pour Joseph ?
- Q comme Qu’est devenu Claude Samuel en juillet 1859 ?
- R comme Recevoir des nouvelles
- S comme Situation au retour
- T comme Triste mariage
- U comme Union avec une fille-mère
- V comme Village de la Rullière
- W comme Waouh que de changements
- X comme DeuX déménagements
- Y comme Y a du bruit dans la forge
- Z comme 3, 2, 1, Zéro, 1, 2, 3…
- Supplément : Arrivée du train à Saint-Ferréol
J’ajouterais bien un nouveau commentaire, mais cela figure déjà à l’intérieur de ce billet 🙂
Félicitations pour ce superbe travail ! (pour avoir fait du « à la dernière minute » plus facile que celui-là l’an passé, j’avoue que je suis très impressionnée)
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Merci Pauline.
Quand j’essaye de commencer un travail longtemps en avance, je suis rarement satisfait de moi et du coup, je recommence tout jusqu’à laisser tomber. Je n’ai pas le choix, je dois m’y prendre à la dernière minute pour rendre dans les délais demandés. En plus chez moi, le stress est plutôt un moteur qu’un inconvénient.
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Un peu pareil de mon côté…
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